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Le mot du maire
Pourquoi un blog ?
De plus en plus de ménages utilisent l'informatique. Certes, tout le monde n'a pas un ordinateur à disposition. Toutefois, c'est le moyen le plus rapide pour correspondre, pour communiquer, pour adresser des photos, pour faire savoir.
Aujourd'hui, de nombreuses collectivités mettent Internet à disposition de leurs administrés qui n'ont pas d'ordinateur ou qui n'ont pas l'ADSL.
Je souhaite et j'espère que ce blog vous intéressera. Des dernières nouvelles à l'histoire de la commune et de la communauté de communes, il est conçu pour vous et n'a aucun but électoral.
Bonne lecture.
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20 Jean BOIS : délibérations 10 fructidor an III
Le 10 fructidor an III : Arrêté, concernant l’interdiction de faire paître les animaux dans les vignes et champs ensemencés, ainsi que de s’y approcher à moins de 60 pas, sous peine d’amande de 20 livres et du paiement des dégâts en sus. Interdiction d’abattre les noix, soit à coup de pierres, bâtons et autres instruments, sous peine de l’amende du double des dégâts, sans préjudice à la juste valeur des dégâts. Interdiction d’aller dans les vignes pour y cueillir des ? ou des raisins, non plus des pommes de terre, sous les même peines. Le 1er vendémiaire an III : Le Conseil a reçu la démission d’Antoine BERTRAND, officier public, attendu qu’il lui est impossible d’écrie, que très mal, et qu’il faut une bonne écriture.
30 vendémiaire an III : Les officiers municipaux ont reçu l’affirmation de la citoyenne Marie-Antoinette ROY, créancière de l’émigré GUITTARD, chevalier de RIBEROLLE, d’une somme de 2 000 livres, consentie par lui, qu’elle a déposé son titre au secrétariat du District de La Rochefoucauld et qu’elle ne prête son nom ni directement, ni indirectement à personne. Signé ROULIER Le 8 brumaire an IV : La citoyenne Marie COUPRIE, venue de Mille Vaches, s’est présentée devant nous, et a fait la déclaration que la somme de 40 livres lui est due, bien légitimement, par François MESMOND émigré, pour la façon des enterrements et la fourniture de la cire, pour le père et la mère du dit NESMOND émigré. De plus, le citoyen ROUYER, couvreur de notre commune, nous a déclaré qu’il ne lui était rien du par François NESMOND émigré, et qu’il a été payé. S’est présenté le citoyen Jean GUILLOT, percepteur du ? patriotique de l’année 1791, …. Et nous a présenté son rôle que nous avons vérifié. 33 livres lui sont redevables sur la côte de LACHENAUD, ci-devant curé de la dite commune, déporté. |
