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Le mot du maire
Pourquoi un blog ?
De plus en plus de ménages utilisent l'informatique. Certes, tout le monde n'a pas un ordinateur à disposition. Toutefois, c'est le moyen le plus rapide pour correspondre, pour communiquer, pour adresser des photos, pour faire savoir. Aujourd'hui, de nombreuses collectivités mettent Internet à disposition de leurs administrés qui n'ont pas d'ordinateur ou qui n'ont pas l'ADSL. Je souhaite et j'espère que ce blog vous intéressera. Des dernières nouvelles à l'histoire de la commune et de la communauté de communes, il est conçu pour vous et n'a aucun but électoral.
Bonne lecture.

34 Jean DESHERCE juin 1882

Le 11 juin 1882 :
 
- Réunion prévue à 10 heures. Quorum non atteint à 14 heures car seuls 8 membres sont présents. La séance est levée.
 
Le 18 juin 1882 :
 
- Demande de Monsieur le Préfet (loi du 28 mars 1882) pour nommer cinq membres délégués devant faire partie des commissions municipales scolaires chargées de surveiller et d’encourager la fréquentation aux écoles de la commune de Brie. Le maire étant président de droit,
ont été élus au scrutin : François PLASSERAUD, LIMOUSIN, DUMOUSSAUD FAYOLLE, BREBION LACAILLE et BREBION instituteur.
De Plus, l’article 17 précise que la caisse des écoles instituée par la loi du 10 avril 1867 à une somme égale au montant des subventions communales (crédits du Ministère de l’Instruction Publique).
Le Conseil décide qu’il n’y aura pas de caisse des écoles à Brie vu ses charges trop importantes.
 
- Madame BERTRAND, institutrice titulaire de l’école de La Prévôterie, vu le nombre très important d’élèves (102) est obligée de payer sur ses propres deniers une adjointe auxiliaire pour que l’école puisse fonctionner. Elle demande donc au Conseil de créer un poste d’adjoint.
Le Conseil reconnaît la vérité des faits énoncés. L’Inspecteur d’Académie appuie cette demande en attendant qu’une construction nouvelle ait permis de dédoubler l’école.
Le Conseil demande la nomination d’une institutrice adjointe à l’école de la Prévôterie à la charge de l’Etat.
 
- Construction BERTRAND aux Boussats :
Le rapport de la commission nommée le 12 mai précise que le sieur BERTRAND à empiété de 80 centimètres pour construire sa grange. Toutefois il avait compensé cette emprise en laissant une assiette de 4 mètres au dit chemin sur la rive opposée. La commission précise qu’il n’a pas assez prolongé cet élargissement pour éviter l’inconvénient qui a été causé au chemin et qu’il aurait du, pour donner une bonne viabilité, au lieu d’arriver en ligne droite dans l’ancienne voie publique, faire une ligne oblique qui partait d’un point situé à environ 2 mètres d’où la ligne nord que le dit BERTRAND a construit se serait prolongée jusqu’à un piquet qu’ils ont placé à cet effet et qui se trouve en face du mur de BASSET à environ un mètre plus rapproché de la grange des BERTRAND, qu’une ouverture qui se trouve dans le dit mur.
Le Conseil décide que le sieur BERTRAND soit tenu de se conformer aux prescriptions du rapport ou de remettre le chemin dans son état primitif.
 
- Affaire PINASSAUD :
Lettre de Monsieur le Préfet demandant au Conseil à aviser aux moyens à prendre pour désintéresser le sieur PINASSAUD d’une somme de 663,10 francs qui lui avait été allouée pour les dommages causés à ses bâtiements pour l’établissement du CIC N°61.
Quoique le Conseil ait toujours cru que cette indemnité ne devait nullement incomber à la commune, mais pour trancher la question, il déclare accepter l’arrêté du Conseil de préfecture en date du 30 mai 1879, pourvu que la somme soit prélevée sur les ressources du chemin, moitié à titre de subvention et moitié à titre d’avance. Mais il expose que pour ce qui concerne cette dernière moitié, il désirerait qu’elle fut prise sur les subventions accordées à la commune en faveur des chemins vicinaux de cette catégorie.
 
- Etablissement d’une gare à Argence :
Le Conseil est appelé à donner son avis sur la demande de la Compagnie des Chemins de Fer d’Orléans pour l’établissement d’une gare dans le village d’Argence sur la commune de Champniers. Mais le Ministre des Travaux Publics demande s’il y a urgence et quels sont les sacrifices que les communes sont prêtes à fournir.
Le Conseil reconnaît que cette station pourrait avoir un certain intérêt pour les populations les plus rapprochées mais que pour ce qui concerne la commune de Brie, elle ne peut s’imposer aucun sacrifice en faveur de la Compagnie d’Orléans.
 
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