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Le mot du maire
Pourquoi un blog ?
De plus en plus de ménages utilisent l'informatique. Certes, tout le monde n'a pas un ordinateur à disposition. Toutefois, c'est le moyen le plus rapide pour correspondre, pour communiquer, pour adresser des photos, pour faire savoir. Aujourd'hui, de nombreuses collectivités mettent Internet à disposition de leurs administrés qui n'ont pas d'ordinateur ou qui n'ont pas l'ADSL. Je souhaite et j'espère que ce blog vous intéressera. Des dernières nouvelles à l'histoire de la commune et de la communauté de communes, il est conçu pour vous et n'a aucun but électoral.
Bonne lecture.

école Prévôterie du 18 avril 1886 au 16 août 1887

Mandat de Jean DESHERCE

DELIBERATIONS CONCERNANT L'ECOLE DE LA PREVOTERIE :
 
A cette époque l'école n'est pas à l'endroit actuel, situé en réalite aux Gendres, mais au Logis de La Prévôterie, chez un privé.
Les délibérations précédentes seront éditées dans quelque temps.
 
Le 18 avril 1886:
 
- Le Conseil emet un avis défavorable à la demande de Mme POUZY, adjointe à l'école de LA PREVOTERIE, réclamant la somme de 60Frs équivalent au prix du loyer qu'elle vient d'être obligée de conclure au village, car dit-elle, elle n'a pas de chambre dans le logement de sa titulaire.
Raisons du Conseil:
 
  • - avant son mariage, Mme POUZY habitait chez Mme ROCHAUD sa titulaire.
  • - Monsieur POUZY, som mari avait son logement dans la maison communale du BOURG, comme adjoint à cette école, et qui est toujours à sa disposition
  • - le Conseil Municipal, de par ses précédentes délibérations, ne veut en aucune façon augmenter les charges de la commune.
 
Le 16 mai 1887:
 
- Transmission par Mr le Préfet du dossier envoyé par Mr l'Inspecteur d'Académie et concernant la demande d'indemnisation de loyer de Mme POUZY, adjointe à l'école de la PREVOTERIE, et se montant à 40Frs par an pour les années 1885 et 1886.
Un avis défavorable est donné, car l'article 14 de la Loi du 30 octobre 1886, précise que la commune ne doit rien dans la mesure où le logement de l'école où était Mme POUZY est suffisant pour loger les membres du personnel enseignant. La plus grande preuve est celle-ci: Depuis le départ de Mme POUZY, l'institutrice adjointe s'y loge sans avoir aucune plainte à formuler, et avant Mme POUZY, sa prédécédrice s'y logeait parfaitement.
 
Le 16 août 1887:
 
- Une lettre de Mr le Préfet donne connaissance du rapport de Mr l'Inspecteur d'Académie, concernant la réclamation de Mme POUZY. Ce rapport précise que cette institutrice ne possède comme logement qu'une cuisine et une chambre à coucher. Le Conseil fait remarquer que le logement est très vaste et que la cuisine est propre à recevoir 2 lits; de plus il existe une petite pièce au fond du corridor, qui peut recevoir un lit. Il est donc conclu que les appartements dont jouit Mme BERTAUD peuvent recevoir 5 lits.
Le Conseil refuse donc la requête.
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