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Le mot du maire
Pourquoi un blog ?
De plus en plus de ménages utilisent l'informatique. Certes, tout le monde n'a pas un ordinateur à disposition. Toutefois, c'est le moyen le plus rapide pour correspondre, pour communiquer, pour adresser des photos, pour faire savoir. Aujourd'hui, de nombreuses collectivités mettent Internet à disposition de leurs administrés qui n'ont pas d'ordinateur ou qui n'ont pas l'ADSL. Je souhaite et j'espère que ce blog vous intéressera. Des dernières nouvelles à l'histoire de la commune et de la communauté de communes, il est conçu pour vous et n'a aucun but électoral. Bonne lecture. |
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10 Petite histoire ; monuments anciens 10 Petite histoire ; monuments anciensMONUMENTS ANCIENS :
Le dernier monument connu, debout, le dolmen de la Combe, fut détruit entre 1943 et 1946, par le propriétaire du terrain, Antoine Longeville car, prétendait-il, les visiteurs causaient de graves dégâts à ses récoltes. Le grand père d’Eugène DUBOIS lui avait dit que ce dolmen servait d’abri aux bergères. Lors de la destruction, les morceaux de pierres servirent à construire un muret le lond du chemin qui descend au hameau de la Combe ; ce muret existe toujours. L’ouvrage de Michon, de 1859, en donne une description précise : la pierre était incline vers l’orient ; la table horizontale, en calcaire tendre, avait une surface inégale et la forme d’un losange. Les rigoles avaient 0,20 mètre de large sur 0,25 mètre de profondeur. Les supports, 0,40 mètre d’épaisseur, les deux plus petits, 0,30 mètre, la hauteur, 1,55 et 2,10 mètres. Monsieur PINASSEAU, de Brie, déclare, à l’époque, une épaisseur de la table variant de 30 à 55 centimètres, avec une longueur maximum de 2mètres 38. D’après le livre d’Eugène DUBOIS, ce dolmen ne devait pas être le seul sur la commune car il y a des présomptions sérieuses. En effet, comment expliquer que plusieurs plantiers sont dénommés la Grosse Pierre ? Nous avons la Grosse Pierre à l’ouest des Frauds, au nord du Bourg, dans le plantier de Chérou et près des Chirons. Mieux, à une petite distance à l’ouest du village de Verrières, se trouve le plantier des Trois Pierres et son orientation au-dessus de la vallée, rappelle Pierre Levée. De plus, les preuves de l’occupation gauloise semblent indéniables et multiples. (voir livre d’Eugène DUBOIS pages 70 et 71).
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