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Le mot du maire
Pourquoi un blog ?
De plus en plus de ménages utilisent l'informatique. Certes, tout le monde n'a pas un ordinateur à disposition. Toutefois, c'est le moyen le plus rapide pour correspondre, pour communiquer, pour adresser des photos, pour faire savoir. Aujourd'hui, de nombreuses collectivités mettent Internet à disposition de leurs administrés qui n'ont pas d'ordinateur ou qui n'ont pas l'ADSL. Je souhaite et j'espère que ce blog vous intéressera. Des dernières nouvelles à l'histoire de la commune et de la communauté de communes, il est conçu pour vous et n'a aucun but électoral.
Bonne lecture.

36 Petite histoire : le cimetière (suite 11)

Le 12 avril 1862, le maire Pierre ROSSIGNOL (le neveu) étant maire, il reçoit de nombreuses plaintes au sujet des prix trop élevés demandés par le fossoyeur. Il perdra sa place et sera remplacé par François BEAUD.
 
Le 14 mars 1865, le Conseil autorise le maire à vendre l'herbe du cimetière (!). Mais l'argent ne sert pas à l'entretien du cimetière qui est de plus en plus négligé. Le fossoyeur CHEMINADE sera révoqué et remplacé par François CLEMENT du Logis qui y restera jusqu'à sa mort. Puis sera remplacé par BREBINAUD, son gendre, du Logis également, qui y restera jusqu'à la guerre 1914-18. François ALLIGANT, du Bourg, lui succède de 1920 à 1938. Pierre RATINAUD de chez Marquant, de 1938 à 1951. Enfin, MARCHAT des Rigalloux.
Image de 36 Petite histoire : le cimetière (suite 11)
La porte en fer toujours existante (Ph. G. BRANCHUT 2007)
La porte en fer toujours existante (Ph. G. BRANCHUT 2007)
Nous passerons sur le pris dérisoire des concessions, mais il faut remarquer que les concessions perpétuelles ont posé le problème de <<l'infini>> des emplacements. On ne peut pas conserver ceux-ci, surtout s'ils ne sont plus entretenus.
 
La loi de 1924 a permis aux communes de reprendre une concession perpétuelle vieille de 75 ans au moins, si elle n'est pas entretenue.
 
C'est le 23 février 1899 que le Conseil décide de remplacer la porte en bois vermoulu par la porte en fer qui existe encore.
Image de 36 Petite histoire : le cimetière (suite 11)
On a un aperçu de la pente. A la sortie, la route N° 61 (RD91), et en face, le Logis. (Ph. G. BRANCHUT 2007)
On a un aperçu de la pente. A la sortie, la route N° 61 (RD91), et en face, le Logis. (Ph. G. BRANCHUT 2007)
Peu après, il se préoccupe de l'état dans lequel l'a placé la construction de la route N° 61 (RD 61 actuelle). Pour atténuer la pente, on a du creuser le terrain assez profondément, si bien que la tranchée laissait apercevoir les squelettes de nombreux corps dans leur cercueil de pierre.
 
Le 06 novembre 1904, la construction d'un mur de soutènement le long de la voie publique, fut décidée.
Une grosse partie du travail de déblaiement fut soldée par les prestataires et les débris furent portés dans la carrière où avait été extrait le sable utilisé pour l'édification de la mairie et des écoles, en bordure de la route de Brie, au-dessus de la fontaine de Lirat.
Image de 36 Petite histoire : le cimetière (suite 11)
Ph. G. BRANCHUT 2007
Ph. G. BRANCHUT 2007
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Le mur de soutènement le long de la route N° 61 (RD 91), avec la porte principale située au milieu.
Image de 36 Petite histoire : le cimetière (suite 11)
Les tuiles plates sur le mur du cimetière (ph. G BRANCHUT 2007)
Les tuiles plates sur le mur du cimetière (ph. G BRANCHUT 2007)
Le 9 août 1911 le Conseil décide de faire recouvrir les murs de clôture avec de la tuile plate et enduire de ciment, côté ouest, le plus exposé aux pluies.
 
En 1925, il n'existait encore que deux allées qui se coupaient perpendiculairement au centre du cimetière. A leur intersection s'élevait la haute colonne de pierre qui porte la croix. Les corps étaient inhumés dans tous les sens; des ronces et des buissons recouvraient beaucoup de sépultures. Souvent, on ignorait où se trouvaient les concessions vendues.
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