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Le mot du maire
Pourquoi un blog ?
De plus en plus de ménages utilisent l'informatique. Certes, tout le monde n'a pas un ordinateur à disposition. Toutefois, c'est le moyen le plus rapide pour correspondre, pour communiquer, pour adresser des photos, pour faire savoir. Aujourd'hui, de nombreuses collectivités mettent Internet à disposition de leurs administrés qui n'ont pas d'ordinateur ou qui n'ont pas l'ADSL. Je souhaite et j'espère que ce blog vous intéressera. Des dernières nouvelles à l'histoire de la commune et de la communauté de communes, il est conçu pour vous et n'a aucun but électoral.
Bonne lecture.

8 Jean DESHERCE septembre à octobre 1876

Le 07 mai 1876 :
 
-Imposition extraordinaire pour faire face au paiement des dépenses ordinaires de la commune. Sont convoqués, outre les conseillers, les 14 plus forts contribuables. Parmi ces derniers, ne sont présents que : François BEGOIN, Antoine PINASSAUD, Julien THALLOT et François AUDHOIN.
 
Il s’agit d’une somme de 1 802 francs répartie sur les quatre contributions directes.
 
Le 25 juin 1876 :
 
- Une pétition des habitants des Rassats, des Frauds, des Petits Favrauds et d’autres villages alentour demande qu’il y ait une boîte aux lettres aux Rassats car le Bourg est trop éloigné.
Le Directeur de la Poste est d’accord à condition que le conseil s’engage à en payer l’achat, la pose et l’entretien (22 frs25 cent.). Ce qu’accepte le conseil.
 
Le 08 septembre 1876 :
 
- Enquête publique demandée par le Préfet pour la construction du chemin de petite communication N° 1 (?) de Vindelle par Vouillac, à La Rochefoucauld, partie comprise entre la limite de la commune de Champniers et le chemin vicinal ordinaire N° 2 de la commune de Brie, en suivant le tracé rouge de l’arrêté du Préfet, Mr BRETOU, maire de Champniers, a été nommé commissaire enquêteur.
Le conseil accepte le tracé mais refuse toute participation financière.
Le 1er octobre 1876 :
 
- Le Maire fait part de la lettre du Ministre de l’Instruction Publique qui accorde à la commune une aide de 5 400 francs pour l’aider à construire les écoles communales, au lieu de 6 400 francs. D’où un déficit de 1 000 francs. Ceci impose la commune de 20 centimes extraordinaires pendant 15 ans pour amortir l’emprunt de 20 000 francs. Il n’y a plus de ressources, y compris les fonds de la « mobilisée ».
Au lieu de créer de nouvelles ressources, il serait plus rationnel de retrancher du projet le petit bâtiment de servitude qui était prévu dans la cour pour les services de la mairie, notamment un abri pour les voyageurs indigents.
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