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Le mot du maire
Pourquoi un blog ?
De plus en plus de ménages utilisent l'informatique. Certes, tout le monde n'a pas un ordinateur à disposition. Toutefois, c'est le moyen le plus rapide pour correspondre, pour communiquer, pour adresser des photos, pour faire savoir. Aujourd'hui, de nombreuses collectivités mettent Internet à disposition de leurs administrés qui n'ont pas d'ordinateur ou qui n'ont pas l'ADSL. Je souhaite et j'espère que ce blog vous intéressera. Des dernières nouvelles à l'histoire de la commune et de la communauté de communes, il est conçu pour vous et n'a aucun but électoral.
Bonne lecture.

église du 15 avril 1877 au 11 mai 1879

EGLISE
 
MANDAT de JEAN DESHERCE
 
Le 15 avril 1877 :
 
- Réparations urgentes sur le clocher de l’église ainsi que du cadre supportant la cloche. Devis de Mr LANDRY architecte : 480 francs.
 
Le 5 août 1877 :
 
- Réparations à faire sur le mouton de la cloche de l’église. Mr GUILLAUME fondeur de cloches à Angers est dans l’obligation de faire placer le mouton qu’il a expédié et qui est en gare d’Angoulême depuis le 1er du mois. Depuis deux mois la cloche ne peut plus servir de crainte de la faire briser. Vu l’urgence, le Conseil autorise le remplacement du mouton aux frais exclusifs du fondeur.
 
Le 06 avril 1879 :
 
- La même commission après examen du décompte de la sacristie, de la réparation de la charpente du clocher de l’église ainsi que du cadre de la cloche, de la réfection de toutes les toitures de l’église et du clocher, accepte le décompte à hauteur de 2 130 francs et 67 centimes.
 
Le 11 mai 1879 :
 
- Le Maire expose que le terrain sur lequel ont été construits les 2 écoles et les 2 logements de l’institutrice a été fouillé à une époque très reculée afin d’extraire le moëllon qui a du servir à la construction de l’église. Lorsqu’on a voulu établir les fondations des dites écoles, on s’est trouvé dans l’absolue nécessité d’aller chercher le sol dur à une très grande profondeur et, en certains endroits, presque le double de ce qui avait été prévu. Il a même fallu augmenté l’épaisseur des dites fondations.
Lorsque les bâtiments de servitude des sieurs HIRONDEAU et GUIONNET ont été démolis, ils avaient été construits sur d’énormes moëllons extraits en trop autrefois et que ceux-ci ont été pris pour le sol dur lors des fouilles.
Des puits ayant été jugés indispensables aux besoins des logements, il a fallu les construire dans les jardinets.
Tout ceci a augmenté le montant des travaux de 7 743 francs et 37 centimes.
Ceci sera payé de la façon suivante :
  • 2 083,37 francs sur fonds libres dans la caisse municipale à la clôture 1878.
  • 3 760 francs (sur 1893 et 1894) au moyen de la taxe extraordinaire de 20 centimes dont la commune est grévée jusqu’à la fin de 1892.
Au moyen d’un recours de 1 900 francs que la commune sollicite au Conseil Général ou à Mr le Ministre de l’Instruction Publique.
 
- Le Maire expose que pour construire la sacristie de l’église paroissiale il a fallu :
  • o Descendre les fondations beaucoup plus bas que prévu pour atteindre le solide.
  • o Remplacer par du neuf le cadre de la cloche et plusieurs bois de la charpente du clocher.
  • o Que suite aux tempêtes de ces derniers temps, les toitures du clocher et de l’église ont beaucoup souffert et qu’il a fallu les remplacer par du neuf ( 25 m² de lattes et 1 525 tuiles).
Que par conséquent il est nécessaire de rajouter une somme de 716 francs.
Le Conseil décide que cette somme sera prise :
sur les fonds libres pour 410 francs.
306 francs demandés à la commission départementale du Conseil Général sur les fonds d’amendes de Police Correctionnelle ou tout autre fonds.
 
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